La mésothérapie est une conception thérapeutique nouvelle et simple dont je peux garantir les résultats parce que mon expérience en la matière me permet de le faire en toute sécurité. Cette méthode consiste à injecter dans le mésoderme des substances médicamenteuses à faibles doses.
Cette technique se situe à mi-chemin entre:
-l’allopathie, puisqu’elle injecte des médicaments allopathiques
-l’homéopathie, puisque l’injection se fait à doses infinitésimales dans l’esprit de l’homéopathie
-l’acupuncture dont elle utilise les punctures.
L’injection se fait localement, dans l’épaisseur de la peau et le plus près possible de la zone à traiter ( douleur, cellulite)
. J’injecte des médicaments et des extraites de plantes en quantités infimes à l’aide de fines aiguilles de 4mm de longueur. J’augmente, en l’appliquant, les effets bénéfiques des médicaments en supprimant leurs effets nocifs comme les allergies, les surcharges médicamenteuses, les irritations de toutes sortes, etc. J’injecte le médicament PEU, RAREMENT ET AU BON ENDROIT.
L’inventeur de la mésothérapie est le Dr Michel Pistor.
Le Dr Pistor, auquel je rends hommage, a déclaré: « La mésothérapie est la plus douce des allopathies et la plus allopathiques des médecines douces. » Son invention va tout à fait dans le sens de mes efforts, et je l’ai adoptée en lui apportant quelques perfectionnements de détail.
Historique :
C’est le Dr Pistor qui a inventé la mésothérapie en 1952. C’est donc une technique qui a un peu plus de 40 ans; et qui a été perfectionnée.
L’histoire de cette invention mérite d’être contée.
Un jour, un vieil artisan cordonnier complètement sourd qui souffre d’asthme vient consulter le Dr Pistor. Celui-ci lui injecte par voie intraveineuse une dose de procaïne, un anesthésique local qu’on utilise à l’époque pour le traitement de l’asthme. Le patient qui revient le lendemain déclare que son mal persiste. Mais, ajoute-t-il, il a, pour la première fois depuis de nombreuses années, entendu son horloge sonner les heures. Et cela jusqu’au matin.
Le Dr Pitsor établit alors un rapport entre l’injection de procaïne et la surdité. Il réinjecte la procaïne mais, cette fois-ci, non plus en intraveineuse, mais d’une manière locale, sur le trajet de la douleur. Mis au courant, de nombreux sourds qui habitent les villages voisins viennent à leur tour consulter le Dr Pistor. Ils ne retrouvent pas l’ouïe mais ils voient disparaître leurs problèmes locaux (névralgies, bourdonnements d’oreilles allergies, etc.)
Intrigué, le Dr Pistor finit par ajouter à la procaïne de petites quantités d’autres médicaments actifs. Il utilise pour cela des aiguilles courtes et fines, et il n’injecte localement que de très faibles doses. Certaine affections sont traitées avec succès: rhumatismes, douleurs, troubles circulatoires…
Telle est l’histoire de la naissance de la mésothérapie. Injecter localement et superficiellement des petites doses de mélanges de médicaments. « Peu, rarement et au bon endroit », dit le Dr Pistor qui précise que la mésothérapie est « la plus allopathique des médecines douces et la plus douce des médecines allopathiques. »
La mésothérapie ne pouvait que s’intégrer naturellement dans mon approche qui combine l’allopathie aux médecines douces et l’approche orientale à l’approche occidentale.
L’intérêt de la mésothérapie est de permettre d’obtenir, avec seulement quelques gouttes qu’on a injectées localement, des résultats qu’on n’aurait obtenus, pat voie générale, qu’avec des doses beaucoup plus importantes. Donc: moins de médicament utilisé, donc moins d’effets secondaires.
La mésothérapie prépare le terrain à une fonte des graisses.
Elle a une action plus qu’intéressante sur la cellulite.
En outre, et ceci est un autre avantage, la mésothérapie n’a pas d’effet indésirable. , à part quelques allergies assez rare à cessent produits injectés peut se produire qu’apparaissent parfois des petits hématomes; mais ils ne durent pas. D’ailleurs, j’y porte remède tout de suite.
LE TRIO INFERNAL: ARTHROSE, STRESS, OBESITE
L’arthrose ressemble de très loin à l’obésité en qu’il résulte, lui aussi, de perturbations métaboliques. L’arthrose, en tout cas, est un l’un des facteurs déclenchants de l’obésité.
L’arthrose, on le sait aujourd’hui, est dû à des perturbations métaboliques locales et générales, génétiquement programmées. C’est une dégénérescence quasiment physiologique entraînant une douleur qui, elle-même, deviendra un facteur déclenchant de l’obésité.
Pour ce qui est, d’autre part, du rôle du stress dans l’obésité, nous en avons parlé avec abondance dans la 1ère partie de ce livre. Il est admis désormais par le corps médical que les perturbations émotionnelles entraînent des perturbations de tout le système immunologique. Le stress entraînant une augmentation du flux sanguin qui entraîne lui-même un afflux
de lymphocytes, pour lutter contre l’inflammation, mais abaisse également la capacité des lymphocytes à lutter contre l’inflammation.
La mésothérapie est particulièrement indiquée quand la cellulite est diffuse. Elle améliore l’aspect peau d’orange. Ses résultats sont spectaculairement rapides en ce qui concerne les petits amas de cellulite; ils sont plus longs quand la cellulite est fortement localisée comme dans une culotte de cheval ou des genoux très forts avec un corps plutôt mince.
Quand la cellulite existe sans surpoids, la mésothérapie est immédiatement efficace. Elle permet d’atténuer les petits amas de cellulite au niveau des cuisses et des genoux. Elle consiste à aérer le tissu conjonctif asphyxié par les déchets et de rétablir une meilleure circulation sanguine dans les capillaires. Elle rétablit donc les échanges, dynamise la circulation, lutte contre les cloisonnements de l’eau et de la graisse qui forment précisément la cellulite.
La mésothérapie consiste, comme nous l’avons dit, à injecter des doses infinitésimales. mais de quoi? De produits actifs, c’est à dire de produits qui agissent efficacement (Ces produits forment un mélange de phlébotoniques, d’enzymes protéolytiques et de vasodilatateur.)
COMMENT SE DEROULE UNE SEANCE DE MESOTHERAPIE?
La mésothérapie est l’une des armes dont je dispose. Et je ne l’utilise pas nécessairement. Si d’ailleurs je l’utilise, d’autres techniques l’accompagnent. Car la mésothérapie, comme toute autres technique, a besoin d’adjuvants si on veut augmenter son efficacité et sa rapidité d’action.
En tout cas, une séance de mésothérapie est beaucoup moins traumatisante qu’on pourrait le penser. la séance en elle-même est de courte durée: les piqûres ne durent pas plus de cinq minutes. C’est donc à la fois très simple et très rapide.
Ce n’est pas du tout douloureux.
C’est à peine perceptible.
Dans certains cas, vous pouvez ressentir une bouffée de chaleur et apercevoir sur vous quelques rougeurs diffuses.
Après la séance, de toutes petites boursouflures à l’endroit des piqûres sont perceptibles aux doigts. Mais ces boursouflures s’estompent rapidement. La séance paraît donc insignifiante, à moins qu’on soit stressé.
L’aiguille est ultra-fine, très courte; et la dose de médicament injectée est… infini décimale! On n’a pas le temps de ressentir une quelconque douleur.
Quant aux infection éventuelles, elles sont impossibles car le matériel utilisé, l’aiguille, la seringue, l’embout, sont entièrement stériles et à usage unique
